Ne vous fiez pas aux apparences. La (très) jolie influenceuse française, expatriée à Londres, est une business woman épatante, qui, en quelques années à peine, s’est fait une belle place dans le milieu ultra hype de la détox avec sa marque Wandertea. Et continue de jongler avec ses nombreuses casquettes. Nous l’avons rencontrée pour lui poser quelques questions.
Votre parcours est assez atypique. Vous êtes issue de la génération «télé-réalité», mais avez-vous su transformé cette expérience en force. Quel regard posez-vous sur votre parcours ? De quoi êtes vous fière? Y a-t-il des choses que vous regrettez?
Je ne regrette rien, et si c’était à refaire je referais tout exactement de la même manière. Cela dit, et au regard de la dégradation de ce genre de programme, je serais incapable d’y remettre un pied à l’heure actuelle, cela ne me correspond plus du tout. Je dirais que oui, mon parcours et un peu atypique mais je déteste faire comme les autres, ça tombe bien (rires)!
Vous avez été présentatrice, actrice, avant de vous lancer dans l’aventure Wandertea. Vous êtes également blogueuse mode à plein-temps. Racontez-nous une journée-type?
Quand je suis à Londres, je me réveille à 7h30 et j’enchaîne avec un cours de Pilates ou de Fitness à 8h. Ensuite, je travaille sur mon ordinateur toute la journée. Des interviews, des rendez-vous et des photoshoots s’ajoutent plusieurs fois par semaine. Le soir, balade avec Island, mon Golden retriever, à Hyde Park : étape obligatoire pour décompresser et me déconnecter un peu en fin de journée. Mais quand je suis en déplacement, c’est une autre histoire!
Etre une femme dans le business est-ce un avantage ou un frein selon vous?
Cela peut être un avantage, car cela intrigue, mais j’avoue que c’est un inconvénient lorsqu’il s’agit d’être prise au sérieux surtout quand vous n’avez pas encore 30 ans et que vous êtes blonde (rires)!
Quelles sont les trois qualités indispensables pour se créer son entreprise?
Etre inspirée, déterminée et instinctive.
Monter votre propre société était-il fondamental pour vous?
C’était primordial, oui, car avant cela je touchais un peu à tout sans vraiment savoir ce que je voulais faire. Quand j’ai monté ma société, j’ai eu la sensation d’avoir enfin un «métier» qui avait du sens à mes yeux et qui me passionnait plus que tout.
Qu’est-ce qui vous a donné l’idée de lancer Wandertea?
Mon intérêt pour la nutrition et les médecines douces et mon envie d’être la première à développer et commercialiser une marque de thé Detox en France.
Pourquoi avoir choisi de vous établir à Londres?
L’architecture, l’énergie positive, la mentalité anglo-saxonne et le climat (rires)
L’envie de perfectionner mon anglais et de changer de vie ont aussi motivé mon choix. Et puis, je dois reconnaître que j’adore le changement!
Vous affichez un nombre de followers sur Instagram impressionnant. ‘Vendre’ son image n’est-il pas difficile au quotidien? Comment arrivez-vous à séparer vie publique et vie privée?
Je ne vends et mets en avant que ce que je désire. Je conserve une vie privée au quotidien, personne ne me harcèle quand je sors de chez moi. A mon avis, les réseaux sociaux permettent de laisser un large fossé entre la notoriété et la vie privée et cela me convient très bien!
Parmi vos projets, l’écriture d’un livre. Pouvez-vous nous en dire plus?
Ce ne sera pas un livre autobiographie, mais plutôt un livre regroupant mes différents conseils, tips, astuces beauté, nutrition, sport , lifestyle… Quelques passages sur ma vie et mon parcours feront aussi partie du livre.
Quels sont vos projets à venir?
Ecrire mon livre, bien sûr, mais également continuer de développer les gammes Wandertea, et surtout conquérir le marché américain avec mes réseaux sociaux!
Crédit photo: Hanna Hillier